Afin de partager son expérience de franchisé Générale des Services, Patrick Le Goff, a accepté, après deux ans et demi d’activité, de revenir sur son parcours, son ouverture d’agence, son développement en passant par la crise sanitaire et le confinement. Découvrez ses propos dans leur intégralité en consultant l’interview ci-dessous.

Quel a été ton parcours professionnel ?

Patrick Le Goff : J’ai d’abord travaillé dans le mobilier de bureau comme responsable d’atelier pendant 5 ans en faisant du montage de meuble, de la réparation de mobilier, de bureau puis de la livraison sur Montpellier. J’ai également été commerciale dans deux sociétés de distribution de boisson pour les cafés, hôtels, restaurants à Montpellier et les alentours pendant 5 et 7 ans. Ensuite, je suis partie à La Rochelle pour créer un magasin spécialisé dans la course à pied. J’en ai créé aussi un à Poitiers et un autre à la Rochelle pour la vente de vélo le tout pendant 13 ans. J’ai également été professeur de Zumba et de Line Dance pendant 5 ans en profession libérale à La Rochelle. Puis j’ai décidé de devenir franchisé chez Générale des Services et de créer mon agence à Montpellier en 2018.

Pourquoi avoir décidé d’entreprendre sur le marché des services à la personne ?

PLG : J’ai cherché une activité dans les services, en plein développement avec de bonnes perspectives de développement sur plusieurs années, une activité qui avait du sens pour finir une carrière. J’ai toujours aimé rendre services aux gens. Je cherchais également une activité où l’on pouvait gérer un certain nombre de salariés et avec un CA potentiel assez élevé.

Pourquoi le choix de la franchise ?

PLG : Quand j’avais mes commerces, j’ai toujours voulu être franchisé pour pouvoir partager mon expérience et profiter de celle des autres, à plusieurs, on est toujours plus fort, ne connaissant pas l’activité des Services à la personne, je ne pouvais qu’ouvrir en franchise.

Pourquoi avoir choisi Générale des Services ?

PLG : C’est la seule Franchise qui proposait un panel aussi large de services avec le courtage en travaux, la formation initiale était la plus complète, le premier contact avec Tanguy Marchand, Directeur du Développement, et la rencontre avec Didier CHATEAU, PDG fondateur, a aussi été déterminant dans mon choix.

Vous avez ouvert votre agence depuis quelques mois maintenant, que vous a apporté Générale des Services jusqu’ici et comment jugez-vous votre démarrage d’activité ?

PLG : Générale des Services m’a soutenu dans le démarrage de mon activité, m’a conseillé et fourni tous les documents nécessaires pour assurer ce démarrage. La franchise a communiqué et mis en place des moyens de communication pour assurer mon développement et ma visibilité sur mon secteur. Mon démarrage a été très rapide, plus rapide que prévu, sur les deux premières années, avec le COVID, l’année 2020 sera moins bonne que prévue mais la progression par rapport à 2019 sera quand même très conséquente.

Comment avez-vous géré la crise sanitaire pendant le confinement ? Qu’avez-vous mis en place ?

PLG : Nous avons fait le dos rond. Nous avons continué nos prestations en mettant en place les gestes barrières pour nos salariés. Nous avons mis en place le chômage partiel ainsi qu’un prêt PGE pour passer cette période sans trop de danger. Nous avons recontacté tous nos clients qui avaient suspendu les interventions pour leur proposer de reprendre.

Comment a redémarré l’activité aujourd’hui ?

PLG : Après une baisse très significative en avril, la reprise s’est étalée sur mai et juin, en juillet nous avons retrouvé les résultats d’avant COVID en réalisant notre plus gros CA depuis l’ouverture, confirmation en août qui, normalement, est un mois calme (vacances) avec un CA encore en hausse.

Quels conseils donnez-vous à un futur franchisé qui voudrait se lancer dans l’entrepreneuriat et intégrer le réseau Générale des Services ?

PLG : Être motivé, car malgré l’aide apportée par le réseau, il faut produire un travail personnel intense les premières années. Avoir un esprit d’ouverture et de partage chevillé au corps, toujours voir le verre à moitié plein, être optimiste et compter sur l’aide du réseau et des autres franchisés.

Estimez-vous avoir réussi aujourd’hui ?

PLG : Si je regarde les chiffres, oui, mais je ne m’en satisfait pas. Je souhaite à terme ouvrir ma seconde agence à Montpellier et obtenir l’autorisation du Conseil Départemental pour travailler en mode prestataire avec le public fragile.

Merci pour tes réponses Patrick et bon développement !